10/10 – Transfert de technologie et essaimage - Sfen

10/10 – Transfert de technologie et essaimage

Publié le 29 janvier 2021 - Mis à jour le 28 septembre 2021
160114_image_reuacteur_rec1

Parmi les nombreux brevets déposés par le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), certains se transforment en débouchés industriels pouvant conduire à la création d’entreprises. De la recherche et développement dans le nucléaire naissent ainsi des start-up qui se positionnent sur tout un panel de marchés. Zoom sur deux exemples.

Le CEA est l’organisme de recherche ayant déposé le plus de brevets en Europe en 2019 (670). Une véritable mine d’opportunités industrielles pouvant se concrétiser grâce à l’« essaimage », c’est-à-dire par la création d’une entreprise à la suite d’un dépôt de brevet en vue de son déploiement industriel. L’organisme à l’origine de l’essaimage – en l’occurrence ici, le CEA – accompagne alors l’entreprise financièrement, en investissant dans le capital social, et en maintenant un partenariat pendant un temps.

C’est une chance pour les entreprises car elles bénéficient alors de l’expertise d’un immense centre de recherche pour les accompagner dans la concrétisation et le suivi de leur projet. Ainsi, 216 start-up technologiques ont vu le jour depuis 1972 avec une accélération récente du processus : 89 d’entre elles ont été créées sur les dix dernières années.

Nanomakers, des nanopoudres de haute performance

Prolongez la lecture de la RGN

Cet article est réservé aux adhérents de la SFEN. Pour lire la suite et avoir accès à l’ensemble de nos archives, abonnez-vous à la Revue Générale Nucléaire.

Par la rédaction, Sfen – Photo © Nanomaker – Les nanopoudres permettent de renforcer la structure de différents matériaux tels que les métaux.