4/10 – Flamanville 3 : les derniers défis en passe d’être relevés
Le chantier du premier EPR français arrive à son terme. Les opérations de mise sous pression du bâtiment réacteur, dites « épreuve enceinte », ont été achevées avec succès en avril dernier. À la même période, EDF a identifié des écarts de qualité dans la réalisation de soudures sur les tuyauteries du circuit secondaire principal. Si cet enjeu est en cours de traitement, l’autre enjeu technique, relatif à la cuve de l’EPR, a déjà trouvé des réponses.
Comme tout grand chantier d’envergure, chaque étape franchie de l’EPR de Flamanville fait l’objet de contrôles, de vérifications, d’inspections approfondies tant au sein du groupe EDF que de l’Autorité de sûreté nucléaire.
Objectif : atteindre un très haut niveau de qualité sur les soudures par des actions correctives
Début 2018, à la suite des contrôles qualité effectués sur les soudures des tuyauteries du circuit secondaire principal, des écarts avaient été repérés sur 6 des 150 soudures. Le futur exploitant avait alors décidé de passer en revue l’ensemble de ces soudures pour s’assurer de leur conformité. Ces vérifications contradictoires ont permis de vérifier chaque soudure grâce aux technologies de contrôles ultrasons.
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