4/7 – L’éco-système du SMR
Le nouveau paradigme introduit par le SMR prend aussi corps dans un processus de fabrication profondément repensé. Désormais, l’essentiel des composants sont assemblés et testés en usine et non plus sur un chantier. Cette évolution doit permettre de gagner en performance et en qualité, en produisant plus, plus vite et mieux. Seule reste, sur le chantier de la centrale, l’installation du réacteur et des modules, dont le dimensionnement favorise les opérations de maintenance et de déconstruction. Ce modèle industriel, comparable à celui des chantiers navals, réduit les temps de construction. Les concepteurs prévoient qu’un SMR peut être mis en service 3 ans après la pose du premier béton.
Cet article est réservé aux adhérents de la SFEN. Pour lire la suite et avoir accès à l’ensemble de nos archives, abonnez-vous à la Revue Générale Nucléaire.