6/9 – Les centrales nucléaires face au risque d’inondation : une protection renforcée
La disponibilité de la ressource en eau est un des enjeux majeurs de sûreté des centrales nucléaires : maritime ou fluviale, la source d’eau froide permet le refroidissement de l’installation. Pourtant, elle peut également représenter un risque de sûreté, en particulier lors de violentes intempéries. Dix ans après l’accident de Fukushima-Daiichi, qui avait été inondé, comment a évolué la prise en compte de cet aléa spécifique ?
Le risque d’inondation est présent sous toutes les latitudes du globe, et peut concerner toutes les échelles géographiques. Pluies intenses, vents violents, séismes : les origines sont multiples et leurs conséquences importantes, comme l’a montré l’accident nucléaire de mars 2011 au Japon lorsqu’une inondation a mis hors service les systèmes de refroidissement de quatre réacteurs du site de Fukushima-Daiichi. Comment adapter les centrales nucléaires face à cet aléa ? Quelles sont les leçons tirées des expériences passées ?
Les retours d’expérience (REX), nationaux et internationaux, ont fait évoluer les pratiques et la sûreté des installations françaises face aux risques d’inondations, d’origine fluviale ou maritime.
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