7/8 – La donnée au cœur des installations nucléaires
Si la simulation n’est pas une nouveauté dans les entreprises de la filière nucléaire, ses outils pouvaient se révéler complexes d’utilisation, et assez théoriques. Leur pertinence pour la compréhension des phénomènes, le dimensionnement et la conception n’était plus à démontrer, mais un pas pouvait encore être franchi pour qu’ils contribuent pleinement à optimiser la conception et l’exploitation des ouvrages. C’est ici que le PLM et le jumeau numérique entrent en jeu.
Le PLM
Le « PLM », pour Product Lifecycle Management (gestion du cycle de vie produit) arrive dans les années 1990 dans l’aéronautique et l’automobile. Pour ces deux industries, le PLM permettait d’utiliser pleinement la simulation avant d’engager la création de prototypes physiques coûteux, et de travailler en mode « entreprise étendue » en faisant travailler des équipes réparties aux quatre coins du globe sur un même référentiel produit.
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